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Aux origines des #twictées il y a de belles rencontres, numériques ou #IRL (in real life), dues pour la plupart à l’extraordinaire caisse de résonance crée par le réseau Twitter autour des initiatives de collègues (la #dictée0faute d’@OstianeMathon, le #tweetconseil d’@Audecorbières, les publications de @profdesecoles …)

Ces collègues « inspirants », enseignants de twittclasses sont venus alimenter une réflexion autour d’un dispositif capable d’accompagner les élèves dans une construction raisonnée, progressive et stimulante des compétences et connaissances au programme en orthographe grammaticale.

Le fait d’enseigner dans l’ASH m’a poussé à m’interroger sur la nécessaire « granularité » à donner à cet enseignement complexe, tant dans sa dimension didactique que dans les nombreux des processus cognitifs devant être mis en oeuvre par l’élève.

Surtout, j’avais à coeur de penser une activité propice au développement du « sentiment d’efficacité personnel » des élèves face à un exercice scolaire souvent démotivant pour les plus en difficulté : la dictée

il s’est agi en somme de proposer aux apprenants des situations d’écriture « vraies » dans lesquels les savoirs orthographiques s’auto-justifiaient : une dialectique outil / objet d’apprentissage.

Le réseau social Twitter m’offrait un support idéal. La lecture, entre autres, de « Comment enseigner l’orthographe aujourd’hui ? » de BRISSAUD et COGIS m’a permis d’apporter une caution scientifique à mes hypothèses. Quelques indicateurs succincts et surtout les témoignages et retours enthousiastes des collègues partenaires et contributeurs m’ont conforté dans certains de mes choix alors que d’autres pistes moins efficientes étaient abandonnées.

C’est en quelques lignes, la genèse du projet Twitter … formalisé de façon plus complète (et plus institutionnelle) dans le mémoire professionnel ci-joint.

Twictées : mémoire CAFIPEMF

Twictées : annexes et paratexte